J’ai 46 ans et depuis mon adolesence j’ai toujours été attiré par les sensations fortes et l’adrénaline.
Aujourd’hui je suis un adulte et j’ai l’impression que mon cerveau est toujours autant immature. J’ai réussi arrêté les comportements à risque physique de mon adolescence et je dis bien « physique » (avec mon corps)
Aujourd’hui, je suis addict à des addictions numérique derrière l’écran. A cause de ma sollitude et d’une anxiete et de depression lancinante en toile de fond je suis tombé dans le casino en ligne. Je cherche à oublié ma vie le temps du jeu. Une fois j’ai fais un premier gros gain depuis je suis en quete permanente de retrouver ce moment, malgré les pertes et maintenant les dettes. Je soulage mon stress pour 5 ou 10 min grand max puis le dégout et les regret. Cette petite voix intérieur qui repart pour me critiquer. Tu es qu’une merde. Le retour à la réalité est comme si je tombé sur le trottoir froid sans vetement et sous la pluie.
Rapidement j’ai plus d’argent et ma cb passe plus. Je suis fiché bdf surrendettement. Le côté possitif les banques refusent de me preter, meme le Cetelem. Il me reste que la vente des derniers object de valeur qui me reste au cash converter de ma ville. J’ai vendu les dernieres bijoux de mes parents au credit municipal contre gage de Paris. J’ai plus rien et le loyer a 6 mois de retard, je vais être expulsé de mon bail. En idf, je suis pas prioritaire pour le hlm.
Mon pysciatre ma donné du Narolex pour diminuer mes impuslions et un medecin sur Doctolib m’a mis au Zoloft en remplacment du prozac. Je sais pas si je vais mieux, je dirais que je vais differemnt. Le psy4 m’a dit que ma libido va diminuer mais j’observe le contraire.
Comme le jeu je suis compulsif avec le porno et surtout excesif. Je regarde du porno plusieur heures par jours et plusieurs fois. C’est une habitude impossible à arreter. Comme un besoin de piser je me masturbe de le matin dans le lit. Toujours besoin de plus longtemps, plus souvent plus hard pour trouver encore de la satisfaction. J’ai commencé à payer pour des contenu OF toujours plus sale. La satisfaction diminue et le besoin augmente chaque jour. Avant j’allais souvent à la jonquera pour les filles et les machines à sous dans les bar mais là je suis au chomage je suis seul, le silence m’angoise et l’appartement vide m’angoise. Plus d’ami plus de famille.
Je me bat pour pas mourir. Mon psy4 m’a envoyé vers le CSAPA de Perpignan pour pas rester seul et faire de betise. Il m’a aussi raconter d’écrire mon histoire pour guerrir et de parler pour sortir mon mal. J’ecris ici comme un exercice merci de pas moquer et ou me demonter. Je vais rencontrer en janvier un nouveau psy4 ensemble on va revoir le cocktail de medicament parce que là c’est mélangé et c’est pour ça que je suis détraqué.